« Tout le monde a peur de se faire ubériser ». C’est en ces termes que Maurice Lévy, patron de Publicis, a évoqué le phénomène de l’ubérisation fin 2014.
Du nom de la société californienne Uber – société de chauffeurs privés concurrente des compagnies de taxis – l’ubérisation souligne l’idée selon laquelle « on se réveille soudainement en découvrant que son activité historique a disparu ».
L’essor du numérique, combiné aux nouveaux comportements et besoins des consommateurs, a en effet changé la donne et permis l’apparition de nouveaux services. Airbnb, Blablacar, Uber…autant d’exemples de « disrupteurs » qui montrent que plateformes web collaboratives, dématérialisation, désintermédiation sont les leviers d’une nouvelle génération d’entreprises.
La menace de l’ubérisation est si forte qu’elle est désormais le problème numéro 1 d’une grande partie des dirigeants. Maurice Lévy l’admet : le « tsunami numérique » a provoqué des bouleversements inédits dans son propre secteur depuis l’apparition de la radio et de la télévision.
Comment donc s’en prémunir et contre-attaquer ?
L’innovation, l’utilisation massive et inévitable du numérique et plus largement la transformation digitale des entreprises sont les seuls remèdes pour éviter de se faire ubériser et devancer les attentes des clients.
Les grands groupes du CAC 40 annoncent peu à peu, les uns après les autres, le lancement de grands plans de transformation numérique…et chacun doit y aller !
Au-delà d’un simple défi technologique à relever, la transformation numérique tient plus à une réinvention complète de tous le métiers.
Dans ce contexte, VISIPLUS academy a mis en place une formation à destination des dirigeants : 2 jours pour comprendre les nouvelles règles du business à l’ère du digitale et favoriser l’appropriation de méthodes et d’outils pour digitaliser son business.
Objectif : adapter et développer son business en tirant profit du digital.
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