Interviews

« J’ai négocié avec ma direction. Je suis arrivée avec un planning déjà préparé, avec mes 24 modules, […] et c’est passé sans problème. » Valérie Fioux, Webmaster à la Fédération Française de Cyclisme

Valérie n’a rencontré aucune difficulté pour pouvoir suivre la formation en digital learning et a donc pu se former à son rythme et à distance !
Retour sur l’expérience de formation Cycle diplômant Chef de Projet Digital en digital learning de Valérie Fioux, Webmaster à la Fédération Française de Cyclisme.

Quels étaient les enjeux, pour vous, de vous former au digital ?

Valérie Fioux : « Mes enjeux dans cette formation c’était de pouvoir communiquer avec tous mes prestataires, pour pouvoir comprendre, en fait, tout le vocabulaire qu’ils utilisent. Aussi bien sur les réseaux sociaux, sur le développement, sur le marketing… »

Comment avez-vous présenté cette formation à votre entreprise ?

Valérie Fioux : « J’ai négocié avec ma direction. Je suis arrivée avec un planning déjà tout fait, préparé, avec mes 24 modules, qui était en partie pris par une phase « travail » et une « privée ». Et donc, ma direction a accepté ce que j’avais échaudé et c’est passé sans problème. »

Avez-vous réussi à vous épanouir tout au long de votre apprentissage ?

Valérie Fioux : « J’ai réussi à m’épanouir parce qu’effectivement j’ai pu apprendre des choses que je ne connaissais pas et, en fait pour moi, apprendre c’est s’épanouir, c’est pouvoir avancer. Donc j’ai trouvé que, oui, ça n’était pas une contrainte pour moi en fait. »

Quel a été l’élément déclencheur pour réaliser ce cycle diplômant ?

Valérie Fioux : « J’ai observé des mutations dans mon métier, parce qu’effectivement le web ça évolue constamment, et donc j’étais un petit peu en retard par rapport à l’évolution qu’il y a pu avoir. Et en fin de compte, c’est surtout sur le vocabulaire que j’ai appris beaucoup de choses puisque les métiers ont changé, il y a eu beaucoup de conversions et du coup, c’était important pour moi de comprendre le vocabulaire qu’utilisaient mes prestataires. Et aujourd’hui, effectivement, je suis plus à l’aise, puisque je n’ai plus besoin de me poser des questions « ça ça veut dire quoi ? ». Aujourd’hui j’ai un dialogue ouvert, avec eux, sans problème. »

Quel regard portez-vous sur votre certification ?

Valérie Fioux : « Je pense que cette certification c’est un accélérateur et c’est très fort pour moi parce qu’en fait je suis non-diplômée, qu’aujourd’hui j’avais l’expérience mais je n’avais pas de diplôme et cette certification j’espère sincèrement qu’elle va me permettre d’évoluer et de modifier ma carrière en allant vers quelque chose que j’ai envie de faire : c’est d’être toujours chef de projet digital ! »

Avez-vous eu des craintes vis à vis du Digital Learning ?

Valérie Fioux : « J’ai eu des craintes lorsque j’ai fait cette formation digital learning parce que j’ai un handicap auditif et je suis donc appareillée. Du coup c’était difficile de savoir si j’allais pouvoir la suivre, de savoir si le tuteur allait articuler correctement, si le son allait être bon. Et en fin de compte, ces craintes, au fur et à mesure, se sont effacées puisqu’en fait, tout s’est très bien passé et que je n’ai rencontré aucune difficulté pour pouvoir suivre la formation en digital learning. »

Quel retour pourriez-vous faire sur la plateforme Digital Learning ?

Valérie Fioux : « Les principaux avantages pour moi, du Digital Learning, c’est déjà de ne pas avoir à se déplacer, de perdre une journée dans les transports ou pendant toute une journée dans une salle de cours, comme ça, ça me permettait moi de moduler mon temps. Et la deuxième chose qui était importante c’est que quand j’étais en suractivité, genre championnats de France, route, VTT, BMX … Je pouvais en fait moins travailler sur mes modules pour me consacrer plus à mon activité mais pouvoir récupérer ce temps plus tard, quand c’était un petit peu plus allégé au niveau professionnel. »

Quel rôle a joué votre tuteur dans votre parcours ?

Valérie Fioux : « Le tuteur a été important pour moi, il m’a aidé à comprendre comment écrire un mémoire car étant non diplômée, n’ayant jamais fait de mémoire je ne savais pas le construire et il m’a dirigé, pour pouvoir, en fait, ne pas me tromper sur la création et l’écriture de mon plan. »

Aujourd’hui, quels sont vos projets ?

Valérie Fioux : « Alors suite à cette certification ça m’a motivé, j’ai mis à jour mon compte LinkedIn, qui n’y était pas du tout, parce qu’effectivement le manque de diplôme me gênait quelque part. Et aujourd’hui je suis fière de pouvoir mettre, en fait, cette certification que j’ai réussie. 
J’ai mis à jour mon CV parce que si aujourd’hui, à la Fédération, je n’arrive pas à évoluer sur le poste que je souhaite, je veux m’ouvrir sur d’autres secteurs peut-être qui seront intéressés par mon profil et j’espère que cette certification va pouvoir m’ouvrir des portes. »

Aimeriez-vous donner un conseil aux futurs participants VISIPLUS academy ?

Valérie Fioux : « Si des gens sont comme moi, atteints d’un problème auditif ou autre, n’ayez pas peur, c’est faisable. Ce n’est pas difficile plus que quelqu’un qui n’a pas d’handicap, donc je conseille et j’encourage fortement les gens comme moi à aller faire des formations en digital learning. Je pense que ça peut ouvrir des portes et ça peut aider. »

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